En Belgique, la frite est une institution. Populaire, accessible, chaleureuse.
Elle réunit, elle régale, elle rassure. Et si elle devenait aussi un levier de transformation sociale et économique ?
La Fratrie Coopérative proposerait un nouveau modèle : une friterie citoyenne, locale, gouvernée collectivement, créatrice d’emploi, de lien et d’impact. Nous sommes toujours dans l’hypothétique mais nous voulons déjà voir s’il y a un intérêt de la part de la population locale.
Après Paliseul et Saint-Hubert, on pourrait imaginer une troisième Fratrie. Mais cette fois, elle vous appartiendrait aussi. La première friterie coopérative de Belgique serait détenue par ses coopérateurs : citoyens, travailleurs, partenaires. Elle fonctionnera de façon transparente, éthique et ancrée dans son territoire.
Et où ouvrirait-elle ? Selon les opportunités locales et les besoins du territoire (par exemple en suivant le quota de friteries pour une population donnée). Les réponses à notre questionnaire nous permettront aussi de connaitre l’endroit à cibler pour la possible ouverture.
Aujourd’hui, les comptes d’épargne classiques rapportent souvent moins de 2% par an, et sont taxés au-delà de 980 € d’intérêts (précompte mobilier de 30 %).
En investissant dans La Fratrie Coopérative (la proposition évoluera en fonction des retours des coopérateur(trice)s potentiel(le)s et des réponses à notre questionnaire), on pourrait imaginer que :
Et surtout, votre argent a un impact local direct : il crée de l’emploi, du lien social et finance des projets utiles à la communauté
Contrairement à un placement passif, ici vous donnez du sens à votre épargne, tout en conservant un rendement comparable — voire supérieur — aux meilleurs produits d’épargne traditionnels.
Nous rappelons que le but de la coopérative n’est pas de faire des dividendes à tout prix mais bien d’avoir un impact positif sur la société.
L’un des piliers fondamentaux de La Fratrie Coopérative pourraient être que les projets à financer soient proposés, débattus et votés par les coopérateurs en Assemblée Générale.
Chaque année, par exemple nous pourrions nous accorder sur le fait qu’au minimum 50 % des bénéfices nets (dans la limite des besoins de liquidités de l’entreprise) seraient affectés à un ou plusieurs projets locaux choisis collectivement. Ce processus démocratique garantit que l’argent généré bénéficie directement à la communauté, selon ses besoins réels et ses valeurs.
La Fratrie Coopérative serait une vitrine de ces initiatives, un lieu de visibilité pour tous ces efforts collectifs ancrés dans le territoire.